- Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par Notre-Seigneur Jésus-Christ,
- à qui nous devons d’avoir eu accès par la foi à cette grâce dans laquelle nous demeurons fermes, et de nous glorifier dans l’espérance de la gloire de Dieu.
- Bien plus, nous nous glorifions même dans les tribulations, sachant que la tribulation produit la constance,
- la constance une vertu éprouvée, et la vertu éprouvée l’espérance.
- Or, l’espérance ne trompe point, parce que l’amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par l’Esprit-Saint qui nous a été donné.
- Car, lorsque nous étions encore impuissants, le Christ, au temps marqué, est mort pour des impies.
- C’est à peine si l’on meurt pour un juste, et peut-être quelqu’un saurait-il mourir pour un homme de bien.
- Mais Dieu montre son amour envers nous en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, au temps marqué, Jésus-Christ est mort pour nous.
- A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés dans son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère.
- Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie.
- Bien plus, nous nous glorifions même en Dieu par Notre-Seigneur Jésus-Christ, par qui maintenant nous avons obtenu la réconciliation.
- Ainsi donc, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort… Et ainsi la mort a passé dans tous les hommes parce que tous ont péché.
- Car jusqu’à la Loi le péché était dans le monde ; or le péché n’est pas imputé lorsqu’il n’y a point de loi.
- Cependant la mort a régné depuis Adam jusqu’à Moïse, même sur ceux qui n’avaient pas péché, par une transgression semblable à celle d’Adam, lequel est la figure de celui qui devait venir.
- Mais il n’en est pas du don gratuit comme de la faute ; car si, par la faute d’un seul, tous les hommes sont morts, à plus forte raison la grâce de Dieu et le don se sont, par la grâce d’un seul homme, Jésus-Christ, abondamment répandus sur tous les hommes.
- Et il n’en est pas du don comme des suites du péché d’un seul ; car le jugement a été porté à cause d’une seule faute pour la condamnation, tandis que le don amène la justification de beaucoup de fautes.
- En effet, si, par la faute d’un seul, la mort a régné par ce seul homme, à plus forte raison ceux qui reçoivent l’abondance de la grâce et du don de la justice régneront-ils dans la vie par le seul Jésus-Christ.
- Ainsi donc, comme par la faute d’un seul la condamnation est venue sur tous les hommes, ainsi par la justice d’un seul vient à tous les hommes la justification qui donne la vie.
- De même en effet, que par la désobéissance d’un seul homme, tous ont été constitués pécheurs, de même par l’obéissance d’un seul tous seront constitués justes.
- La loi est intervenue pour faire abonder la faute ; mais là où le péché a abondé, la grâce a surabondé,
- afin que, comme le péché a régné par la mort, ainsi la grâce régnât par la justice pour la vie éternelle, par Jésus-Christ Notre-Seigneur.
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