Pages qui pointent vers « Les lutins (troisième partie) »
De Elkodico.
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- Une mère avait eu son enfant enlevé du berceau par les lutins qui, qui avaient mis à sa place un petit monstre à grosse tête avec le regard fixe, occupé seulement de boire et de manger. (← liens)
- Dans sa détresse, elle alla demander conseil à sa voisine, qui lui dit de porter le petit monstre à la cuisine, de l'installer devant la cheminée et d'allumer le feu pour faire bouillir de l'eau dans deux coquilles d'œuf : (← liens)
- « Le monstre ne pourra pas s'empêcher de rire, lui dit-elle, et dès l'instant qu'il rit, c'en est fini de lui. » (← liens)
- La femme fit tout ce que sa voisine lui avait dit de faire, et Grosse-Tête, en la voyant mettre l'eau à bouillir dans des coquilles d'œufs, parla : (← liens)
- Moi qui suis vieux pourtant Comme les bois de Prusse, Je n'avais jamais vu cuisiner et dans un œuf ! (← liens)
- Et le voilà qui éclate de rire, et il riait encore quand déjà surgissaient toute une foule de lutins qui rapportèrent le véritable enfant, l'installèrent devant le feu et emportèrent avec eux le monstre à grosse tête. (← liens)
- Les lutins (analyse syntaxique) (← liens)
- Le soir, (...) ; il se recommanda au bon Dieu et s'endormit. (← liens)
- Mais le matin, (...), car il lui laissèrent assez d'argent pour qu'il pût acheter de quoi faire quatre paires de chaussures. (← liens)
- Et comme par la suite, (...), mais bientôt dans une confortable aisance qui touchait presque à la richesse. (← liens)
- À minuit, (...), ni même à comprendre comment c'était possible. (← liens)
- - Cela, (...), et ils allèrent se cacher de nouveaux pour voir comment ils recevraient leur présent. (← liens)
- À minuit, (...), pour se mettre aussitôt à chanter : (← liens)
- C'était un cordonnier qui était devenu si pauvre, sans qu'il y eût de sa faute, qu'à la fin, il ne lui reste à plus de cuir que pour une seule et unique paire de chaussures. (← liens)
- Au lieu du cuir le lendemain matin, après avoir fait sa prière, il voulait se remettre au travail quand il vit, sur son établi, les souliers tout faits et complètement finis. (← liens)
- Il en fut tellement étonné qu'il ne savait plus que dire. (← liens)
- Il prit les chaussures en main et les examina de près : le travail était impeccable et si finement fait qu'on eût dit un chef-d'œuvre : pas le moindre point qui ne fut parfait. (← liens)
- Un acheteur arriva peu après, trouva les souliers fort à son goût et les paya plus cher que le prix habituel. (← liens)
- Avec l'argent, le cordonnier put acheter assez de cuir pour faire deux paires de chaussures, qu'il tailla le soir même, pensant les achever le lendemain en s'y mettant de bonne heure. (← liens)
- Et ces quatre paires-là aussi, il les trouva finies le matin quand il venait, plein de courage, pour se mettre au travail. (← liens)
- Peu de temps avant la Noël, un soir, après avoir taillé et découpé son cuir, le cordonnier dit à sa femme au moment d'aller au lit : (← liens)
- Dis donc, si nous restions éveillés cette nuit pour voir qui nous apporte ainsi son assistance généreuse ? » (← liens)
- L'épouse en fut heureuse et alluma une chandelle neuve, puis ils allèrent se cacher, tous les deux, derrière les vêtements de la penderie et où ils restèrent à guetter. (← liens)
- Ils ne s'arrêtèrent pas dans leur travail avant d'avoir tout achevé et aligné les chaussures sur l'établi ; puis ils disparurent tout aussi prestement. (← liens)
- Le lendemain matin, l'épouse dit au cordonnier : - Ces petits hommes nous ont apporté la richesse, nous devrions leur montrer notre reconnaissance : ils sont tout nus et il doivent avoir froid à courir ainsi. (← liens)
- Sais-tu quoi ? Je vais leur coudre de petits caleçons et de petites chemises, de petites culottes et de petites vestes et je tricoterai pour eux de petites chaussettes ; toi, tu leur feras à chacun une petite paire de souliers pour aller avec. (← liens)
- Maintenant nous voilà comme de vrais dandys ! Pourquoi jouer encore les cordonniers ici ? (← liens)
- Joyeux et bondissants, ils se mirent à danser dans l'atelier, à gambader comme de petits fous, sautant par-dessus chaises et bancs, pour gagner finalement la porte et s'en aller, toujours dansant. (← liens)
- Depuis lors, on ne les a plus revus ; mais pour le cordonnier tout alla bien jusqu'à son dernier jour, et tout lui réussit dans ses activités comme dans ses entreprises. (← liens)
- Il y avait une fois une pauvre servante qui était travailleuse et propre, qui balayait soigneusement chaque jour la maison et portait les ordures sur un grand tas devant la porte. (← liens)
- Un matin, de bonne heure, comme elle arrivait déjà pour se mettre au travail, elle y trouva une lettre ; mais comme elle ne savait pas lire, elle laissa son balai dans un coin, ce matin-là, et alla montrer la lettre à ses maîtres. (← liens)
- C'était une invitation des lutins qui demandaient à la servante de servir de marraine à l'un de leurs enfants. (← liens)
- Elle n'était pas décidée et ne savait que faire, mais à la fin, après beaucoup de paroles, ses maîtres réussirent à la convaincre qu'on ne pouvait pas refuser une invitation de cette sorte, et elle l'admit. (← liens)
- Trois lutins vinrent la chercher pour la conduire dans une montagne creuse où vivaient les petits hommes. (← liens)
- Tout y était petit, mais si délicat, si exquis qu'on ne peut pas le dire. (← liens)
- L'accouchée reposait dans un lit noir d'ébène poli, à rosaces de perles, avec des couvertures brodées d'or ; le minuscule berceau était d'ivoire et la baignoire d'or massif. (← liens)
- La servante tint l'enfant sur les fonts baptismaux, puis voulu s'en retourner chez ses maîtres mais les lutins la prièrent instamment de demeurer trois jours avec eux. (← liens)
- Elle accepta et demeura ces trois jours, qu'elle passa en plaisir est en joie, car les petits hommes la comblèrent de tous ce qu'elle aimait. (← liens)
- Quand enfin elle voulut prendre le chemin du retour, ils lui bourrèrent les poches d'or et l'accompagnèrent gentiment au bas de la montagne. (← liens)
- Arrivée à la maison, comme elle pensait avoir perdu assez de temps, elle s'en alla tout droit chercher le balai qui était toujours dans son coin. (← liens)
- Elle commençait à balayer, quand des gens qu'elle n'avait jamais vus descendirent et virent lui demander qui elle était et ce qu'elle désirait. (← liens)
- Parce que ce n'étaient pas trois jours, mais bien sept ans qu'elle avait passés chez les petits hommes de la montagne ; et ses anciens patrons étaient morts dans l'intervalle. (← liens)